La route des balcons de Belledonne.
Levé à 4 heures du matin de bon pied, près pour une bonne sortie de vélo à la fraîche, pas question de rouler toute la journée avec les températures annoncées par Météo-France.
Après un bon petit-déjeuné, je prépare mon propre ravitaillement composé d'aliments le plus simple possible. Pas la peine de consommer des barres céréales qui en plus d'être pas bonne sont onéreuses.
Néanmoins, j'emmène toujours des barres Ovomaltine dont le goût me conviens le plus, de plus elles sont très efficace pour éviter les coup de bambous, de la vraie dynamite.
Je n'ai pas encore une idée bien précise du parcours. Et si j'allais rouler à l'ombre dans les "balcons de Belledonne" et un autre col inédit ???? Excellente idée.
Le départ se fait doucement mais sûrement, j'ai du temps, pas de stress..... une bonne heure après m'être arraché de mon plumard, je sors le Colnago dans les rues déserte de Grenoble.
A 5h10 du matin, la ville de Saint Martin d'Hères est propice à la pratique du vélo, notamment sur l'avenue Gabriel Péri qui est saturé de voitures dès 6H30. Bon choix de s'être levé de très bonne heure.
Une fois à Gières, non loin de Grenoble, je prends la direction d'Uriage. Au lieu de monter à cette station thermal, je choisis la difficile route de Venon qui offre de beaux panoramas sur Grenoble encore illuminé des lumières public.
Cette ascension assez courte est toujours aussi difficile à gérer à froid, pas question de mettre le braquet 34-19 et envoyer les watts.... le thème du jour est : bouffer du dénivelé sans se cramer. J'opte pour le 34-23/25 tous essayant de tourner le plus souplement possible.
La route offre de beau panorama sur l'agglomération Grenobloise et le Mont Saint-Eynard situé à gauche.
Il y a même une maison hantée !!!!
Le revêtement est plutôt bon......
Puis, comme une mécanique huilé, je gère intelligemment toute les difficultés jusqu'au col des Mouilles.
Ravitaillement en eau au col des Ayes.
Le col des Ayes qui offre une belle vue sur la montagne de Chamechaude située en Chartreuse.
Quatre kilomètres de descente plus bas, j'arrive dans le bucolique village de Theys et sa belle église.
J'emprunte une petite ruelle pour commencer l'ascension du col du Barioz.