Repos à Chiang-Raï.

Miss Jenny (la propriétaire de ce bel hôtel) est absente pour nous accueillir, elle est actuellement en déplacement à Bangkok, elle revient ce soir à Chiang-Raï. Elle compte nous inviter à sa table en compagnie de la chef des employés de l'hôtel.

                  

 Pas mal cette modeste guest-house. Ça change de la piaule insalubre de la nuit dernière.

 

Notre chambre, avec le petit lit qui m'est réservé.  

 

Chouette ! Une bouilloire avec des dosettes de café. C'est un hôtel respectable.   

              

La salle de bain...    

                                 

               

Enfin !  

               

                          

Nous allons déjeuner au Central Plaza qui est situé à 200 mètres de notre hôtel.  

                                     

Le paradis... 

 

La bouffe du jardin d'Eden.  

 

 Des rouleaux de printemps...

                   

Après ce léger repas (une fois, j'avais tellement faim que j'ai démoli une vache en deux-trois coups de mâchoire, ma tête est mise à prix dans certains départements) nous regagnons notre palace pour y faire la sieste.

Kho-Chay trouve que c'est dommage de défaire son lit.  

                    

À 19 heures, nous sommes accueillis par Miss Jenny (en chemisier bleu) et son aide du camp. Et nous passons à table...  

 

                    

J'ai oublié de photographier les autres plats... Je le reconnais, c'est une faute professionnelle grave, cela ne se reproduira pas.        

                    

Après ce fantastique repas (j'ai rarement mangé des mets aussi délicieux, une vraie tuerie ce diner), Miss Jenny nous emmènes au night bazaar de Chiang-Raï que Kho-Chay découvre pour la première fois de sa vie.

                     

 

Kho-Chay en prends deux.

                                     

Demain matin, Kho-Chay prend l'avion pour Phuket. Quant à moi, je vais profiter de cette journée de repos pour retourner au magasin de vélos pour y faire un " check up" intégral de mon spad et changer certaines pièces d'usures (comme les patins de frein...),

La propriétaire de l'hôtel m'offre une deuxième nuit dans son établissement. Cela ne se refuse pas.